Vendredi 13 (2025) - L’énergie solaire enflammée déclenche des mouvements

Tout commence ce vendredi 13, jour vénusien à la réputation ambivalente, connu autant pour attirer la malchance que les bénédictions inattendues. Les prochains jours sont  marqués par des aspects astrologiques imprévisibles, sources de ruptures comme de percées, de confrontations comme de collaborations.

Accrochons-nous fermement à notre cap, tout en gardant en tête une vision faite de paix lucide, de stratégie éclairée et d’actions saines pour faire avancer notre navire.

Le Soleil continue de flamber, attisant les aurores boréales et maintenant une tension sous-jacente dans les événements mondiaux. De grands aspects annuels — voire générationnels — sont activés par des transits de planètes plus rapides : Saturne conjoint Neptune en Bélier, tous deux en sextile à Pluton et en carré à Jupiter.

Dans cette dynamique, Saturne prend le volant. Il est entré en Bélier il y a quelques semaines et y restera pendant environ deux ans et demi.

Saturne en Bélier cherche à savoir qui commande et quelles sont les ''règles''. Il peut autant favoriser un autoritarisme oppressif qu'une indépendance saine et compétente. Il n’est pas du genre à tergiverser ; il pousse à l’action. Mais à nous d’y ajouter la sagesse.

Cette conjonction à Neptune, planète des idéaux, de la confusion et des illusions, s’étend jusqu’à l’hiver prochain. Elle bouscule notre vision du monde et met à l’épreuve nos idéaux.

Elle nous invite à incarner concrètement notre spiritualité et à laisser l’élan spirituel — non nos illusions — nous guider. Elle nous pousse à nous reconnecter à ce sentiment d’unité que Neptune incarne dans sa forme la plus élevée.

Cette conjonction, en début de Bélier, est en sextile à Pluton en Verseau, qui œuvre à une transformation en profondeur du collectif sur plusieurs décennies. Ce sextile intensifie les effets. Et tout cela est en carré à Jupiter en début du Cancer, amplifiant à la fois l’ampleur des conflits et notre soif de liberté.

Bon Vendredi 13 !

Et merci de me lire.